Les vacances : Analyse d'un recul de compétitvité économique intolérable !

Voici donc la fin de semaine scolaire qui se profile et avec elle la sensation surannée que le temps passe trop vite hélas.

Et ce ne sont pas les activités qui manquent ; on retrouve ainsi la lecture , l'écoute de musiques diverses et variés ( que j'aime les redondances : il m'arrive même de regarder LCI après un discours de Sarkozy c'est dire si je suis coutumier du fait et pas des lois comprenne qui pourra)
, les films manqués par manque de temps que l'on aime à regarder pendant cette période d'improductivité latente et de fainéantise crasse que sont les vacances.

Il peut arriver aux plus courageux d'entre nous d'étudier mais ceux là sont incorrigibles , les fêtards et autres David Guetta en herbe s'en donnent eux aussi à coeur joie et remuent leurs popotins, empreints de cellulites emmagasinés par leurs groins dans les mc dos et autres restaurants graissophiles et pendant les pubs Taillefine à la télé , sur le dernier son à la mode à savoir : "la vie en rose d'Edith Piaff".

Les moins centristes d'entre nous peuvent également s'adonner aux joies du voyage , pour peu qu'ils en aient les moyens , les autres voyagent par la pensée et je m'imagine volontiers sur un embouteillage du périphérique parisien respirant l'air frais des moteurs franciliens .

Ce qui me débecte surtout pendant les vacances , c'est la populace qui vient souiller nos plages , effaçant toute trace de beauté comme ils le feraient dans leurs cafétérias casinos , à bouffer des frites congelés , nos littoraux valent plus que leurs Mac Cains !!
Ou alors qu'ils aillent à la mer méditerranée qui comme chacun sait est "l'océan du con".

Les plus érudits d'entre nous pourront eux aussi affirmer haut et fort à leurs comparses à la rentrée : " Pendant ces vacances je m'est cultivé , je suis lis beaucoup de livres et je suis vu beaucoup de films"

Quoi qu'il en soit les vacances scolaires comme les autres d'ailleurs restent comme le disait si bien Blum l'instigateur des premiers congés payés : cette « embellie dans les vies difficiles » .

Je ne pourrais pas vivre sans vacances !